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Le français et l'italien de l'électronique: analogies et différences

La traduction des langues spécialisées

La traduction d’un texte peut être définie comme un processus de glissement linguistique-sémiotique de la langue de départ à la langue d’arrivée. Il s’agit, effectivement, de remplacer un message ou un énoncé écrit par un message ou un énoncé équivalent dans une autre langue. Chaque traduction entraîne des pertes de sens (appelées « entropies ») qui découlent d’une série de facteurs. Cela comporte une «hyper-traduction » (overtranslation), lorsque le traducteur enrichit le texte d’arrivée avec d’autres éléments linguistiques-sémantiques ou une « hypo-traduction » (undertranslation) lorsque, au cas contraire, le traducteur généralise et simplifie le message de sa traduction. En plus, l’identité lexicale et grammaticale ne coexiste pas toujours entre auteur et traducteur du texte, donc, quelquefois le traducteur peut développer une interprétation du texte différente par rapport à l’auteur. Pour aboutir à une analyse approfondie des stratégies de traduction il faut rappeler que la traduction est associée à la sémiotique qui est, comme tout le monde le sait, la science qui s’occupe des systèmes et des structures des signes. Le traducteur ne réalise pas seulement une activité linguistique de transposition du sens au moyen de dictionnaires et de grammaires, mais il doit aussi recourir à ses connaissances extralinguistiques appartenantes à son bagage culturel.
À ce propos, il faut mentionner l’article « Aspects linguistiques de la traduction », écrit par Roman Jakobson, qui est une précieuse source de réflexions pour les linguistes sur le processus et les trois types de traduction:

- La traduction endolinguistique ou reformulation qui s’occupe de l’interprétation des signes linguistiques utilisant les signes dérivants de la même langue.

- La traduction interlinguistique qui aborde l’interprétation des signes linguistiques au moyen d’une autre langue.

- La traduction intersémiotique aborde les différents systèmes linguistiques qui se réfèrent aux signes non-linguistiques.

Par conséquent, le traducteur réalise un processus de décodification et de recodification du sens du texte, en dépassant les éléments purement linguistiques : d’abord il cherche à dégager le sens global du texte ensuite, à travers un processus de recodification, il traduit le texte pour le lecteur. Enfin, un traducteur doit interpréter le texte sans trahir le sens originaire de la langue de départ, opérant des choix linguistiques appropriés. Donc, en tant qu’auteur du texte d’arrivée, le traducteur a une précise responsabilité morale à l’égard du lecteur final.
Lorsque le traducteur doit surmonter ces difficultés de langage, il doit faire référence à la notion de traducibilité du texte. Catford distingue entre deux types de non-traducibilité dénommés linguistique et culturel. Au niveau linguistique la non-traducibilité se présente lorsque dans la langue d’arrivée il n’y a pas d’expressions lexicales ou syntaxiques équivalentes aux éléments de la langue de départ. Selon Catford la non-traducibilité linguistique vient des différences entre langue de départ et langue d’arrivée, au contraire la non-traducibilité culturelle est due à la présence de deux systèmes culturels dans les deux langues.
En général le premier élément qui nous permet de qualifier la figure d’un traducteur est la connaissance d’une langue étrangère. Un traducteur doit connaître les fondements de la grammaire mais il doit aussi utiliser d’autres supports comme par exemple les dictionnaires électroniques et les « mémoires de traduction ». À présent, les traducteurs doivent répondre aux exigences de la société qui leur impose de traduire un grand nombre de textes, souvent très divers. Les nouvelles technologies de l’informatique peuvent les aider à traduire dans un bref délai et avec peu de frais. En particulier, elles permettent d’organiser les unités de traduction en plusieurs parties, ce qui permet au traducteur de travailler sur une partie à la fois.
Pour la traduction de mes textes j’ai expérimenté OmegaT, un outil conçu pour les traducteurs professionnels qui utilise les « mémoires de traduction » : elles sont très employées pour comparer un texte à traduire avec des textes déjà traduits, évitant ainsi de retraduire inutilement des portions de textes ou des textes entiers. Donc on va stocker cette combinaison dans une base de données ou « mémoire ». Lorsqu'une phrase préalablement traduite réapparaît dans le nouveau document, la mémoire de traduction propose automatiquement une version semblable aux phrases déjà traduites, mais non identique.
Connaître une langue signifie non seulement maîtriser le système linguistique de la langue de départ et d’arrivée, mais aussi connaître le système culturel de la langue de référence. En effet des mots ou des expressions, en particulier des termes culturels, sont indissociables d’un événement historique ou social. Les connaissances d’un traducteur peuvent, donc, aborder différents domaines : les sciences cognitives, l’informatique, l’électronique, la physique, les mathématiques, l’économie. Tout cela fait partie des connaissances extralinguistiques qui forment le bagage culturel du traducteur.
Enfin, il faut rappeler que le traducteur est lui-même un rédacteur et cela implique qu’il doit posséder une excellente capacité de rédaction en langue d’arrivée.

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Le français et l'italien de l'électronique: analogies et différences

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Informazioni tesi

  Autore: Mariagrazia Cervone
  Tipo: Laurea II ciclo (magistrale o specialistica)
  Anno: 2011-12
  Università: Università degli Studi di Bari
  Facoltà: Lingue e Letterature Straniere
  Corso: Traduzione letteraria e traduzione tecnico-scientifica
  Relatore: Francesco Cornacchia
  Lingua: Francese
  Num. pagine: 160

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Parole chiave

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différences lexicales et stylistiques
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